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lundi 10 décembre 2018

Sport -Santé: c'est ma tournée, je remets la mienne ! Lobbying contre la Loi Evin et financement "disruptif" du sport français.

Créé le 6 décembre 2018

MAJ le 22 septembre 2019


Puisque les députés et les sénateurs font les lois que les maires doivent appliquer je propose que les élus des deux chambres assument leurs parts de responsabilités en fonction de leurs votes et portent aussi la responsabilité liée aux contraintes qu’ils imposent aux élus locaux. 

Certains souhaitant autoriser la publicité et donc le financement du sport par les marques d’alcool, ainsi qu’autoriser la consommation dans les stades et arenas (lobbying appuyé en cours contre la loi EVIN notamment dans Le financement des politiques sportives en France : bilan et perspectives Rapport remis au Premier Ministre le 30 novembre 2018), pourquoi les députés et sénateurs favorables à cette proposition ne seraient pas déclarés, sur leur territoire d'élection, Directeur Unique de Sécurité (ou Responsable Unique de Sécurité) lors des manifestations dans les enceintes  sportives concernées. 

Ils pourraient ainsi mettre en accord leurs visions, leurs engagements et leur grande responsabilité au service de leurs concitoyens.


Je soumets l’idée de l’étendre aux membres des lobbies de l’alcool (pour les enceintes sportives locales) histoire que les porteurs de bonnes idées ne soient pas uniquement ceux qui encaissent les bénéfices mais assument les responsabilités pénales de leurs engagements.

Il faudrait alors appliquer la même loi que pour les propriétaires de débits de boisson interdisant de servir quelqu’un en état d’ivresse manifeste… sous peine de poursuites.



 L'argument souvent entendu:

"Ça ne sert à rien d’interdire l’alcool dans les stades si les gens s’enivrent massivement avant d’aller au match, ce qui pose des problèmes de sécurité", a affirmé à l’AFP, Perrine Goulet, députée qui a rédigé un rapport sur le financement du sport. 

Il y a donc des personnes qui ne font pas respecter la loi à l'entrée des stades ou la députée ne connaît pas la loi et les contraintes qui pèsent sur l'accès aux stades ?



Reste que les promoteurs de la publicité et la consommation d'alcool dans les enceintes sportives devront juste faire respecter les différentes lois :


-    - L’ivresse publique et manifeste dans un lieu public est une infraction de droit commun (contravention de 2ème classe, punie de 150 € d’amende – NATINF 6252),
       - Pénétration en état d’ivresse dans une enceinte sportive lors d’une manifestation sportive  Art 42-4, 42-11  PP : 7500 € 



Ou alors il faudrait changer la loi pour que l’ivresse soit autorisée tout le temps. Resterait alors à assumer les effets « collatéraux » d’une telle situation.


La loi sera alors simplifiée, il ne restera plus qu’à se concentrer sur le Sport-Santé (et pas uniquement à l’heure de l’apéro) pour faire financer par la puissance publique le sport sur ordonnance pour lutter contre la sédentarité…et la dépendance à l’alcool.


A moins que l’on envisage dès à présent de transformer le plan Sport-Santé en "Sport- Apéro, je remets la mienne; … Santé !"


Mais la véritable question repose sur la relative discrétion des grands groupes industriels dans le sponsoring sportif français et notamment dans l'engagement économique auprès des clubs professionnels.

Avec toutes les valeurs et les effets bénéfiques supposés que véhiculent et permettent les pratiques sportives, pourquoi l'enjeu de la communication semble être plus important pour les marques d'alcool que pour les autres marques industrielles françaises ? 


Historiquement, il y a eu des liens forts avec certaines industries, Peugeot avec le FC Sochaux, Matra avec le Racing, Michelin avec l'A.S. Montferrand. 

Aujourd'hui, force est de constater que peu de grands groupes industriels français sont très investis auprès des clubs professionnels si ce n'est comme "sponsor" maillot parmi les autres. 

Quelques exceptions existent néanmoins mais ne représentent qu'une minorité (liste non-exhaustive):  Michelin et l'ASM, Altrad et Montpellier, Nicollin avec Montpellier HSC, Fabre avec Castres, JM Aulas avec l'OL, Olivier Sinon (GL Events) pour le LOU Rugby. 

Serge Kampf le mécène du rugby français a disparu mais est resté une exception tellement son engagement personnel a été masqué derrière le soutien au FCGrenoble et au Biarritz Olympique.

Sans oublier Jacky Lorenzetti (Racing 92) qui a même réussit à se faire payer la moitié de « son » arena par le Conseil Départemental des Hauts de Seine. (La U Arena, l'incroyable pari de Jacky Lorenzetti, Challenge par Vincent Lamigeon 19.10. 2017).

L’absence d’engagement des grandes entreprises dans le sport spectacle laisse le champ libre aux marques d’alcool depuis le « retrait » les fabricants de cigarettes. 

Cela permet également aux lobbies des producteurs et distributeurs de produits alcoolisés de revendiquer un assouplissement de la loi EVIN pour « soutenir » le sport français… et obtenir plus de visibilité. 

Et accessoirement sortir des espaces VIP des stades dans lesquels l’alcool est distribué sans modération.

Allons-nous voir en même temps des actions en faveur du Sport-Santé et un détricotage de la loi EVIN ?


Textes Officiels Loi Evin Loi n° 91-32 du 10 janvier 1991 relative à la lutte contre le tabagisme et l'alcoolisme 
Article L49-1-2 (les dérogations existent déjà)
"La vente et la distribution de boissons des groupes 2 à 5 définis à l'article L. 1 est interdite dans les stades, dans les salles d'éducation physique, les gymnases et, d'une manière générale, dans tous les établissements d'activités physiques et sportives.
Des dérogations peuvent être accordées par arrêté conjoint du ministre chargé du tourisme et du ministre chargé de la santé pour des installations qui sont situées dans des établissements classés hôtels ou restaurants de tourisme.
Le préfet peut, dans des conditions fixées par décret, accorder des dérogations temporaires aux dispositions du premier alinéa pour des raisons liées à des événements de caractère sportif, agricole ou touristique."


13 mars 2019

Les lobbies sont à l'œuvre....


Si le financement du sport ne peut passer que par la vente d'alcool c'est que notre modèle sportif a de gros problèmes de créativité. 

Sans compter que les valeurs et les bienfaits du sport n'arrivent à attirer que les producteurs et distributeurs de boissons alcoolisées. Étonnant !

Evoquer "le mépris de classe", c'est l'argument des lobbies des distributeurs et producteurs d'alcool pour revendiquer le renouvellement de "l'expérience stade".

Si l'alcool est incontournable, c'est très inquiétant.




4 avril 2019

"Si on l’applique strictement, la loi Evin peut casser toute l’économie d’un village autour de son club local."

...
sidérant !
LorraineActu.fr  Publié le 3 Avril 2019 à 19:46| Modifié le 3 Avril 2019 à 19:47



18 avril 2019
L’Union MIS EN LIGNE LE 18/04/2019 À 06:00 par JEAN-MICHEL FRANÇOIS


L'argument économique est pitoyable au regard de ce que cela rapporterait vraiment aux clubs. Mais surtout cela augmenterait la prise de risques des présidents de clubs amateurs qui finiraient par devoir assumer le fait de vendre de l'alcool plus régulièrement à leurs adhérents et spectateurs.



23 avril 2019 (8h30)


La manne supposée permettre aux clubs de survivre me fait penser aux formidables déclarations d'avant l'Euro 2016 affirmant que les nouveaux stades allaient booster la fréquentation de la Ligue 1.

Dans ce cas, surtout en citant l'exemple allemand, on refait les mêmes erreurs en oubliant certaines caractéristiques sociologiques, culturelles et économiques du fonctionnement des clubs outre Rhin. Mais pourquoi s'embarrasser de détails alors que "l'on sait bien ce qui marche…"

Pourtant on connait le résultat sur la fréquentation réelle, lire la Thèse de Jérémy Moulard (Nouvelle ressource et évolution du business model : une équation à plusieurs inconnues, Le cas des nouveaux stades du football français,  Thèse STAPS soutenue le 19 novembre 2018.)- page 188 :

« les grandes études faites ; vous changez de stade
—  vous faites 30 points de plus d’audience : c’est du  pipeau»

Il se pourrait bien que les sommes espérées grâce à la publicité et la vente d’alcool soient du même niveau de fantasmes.

D’autant que les 90% de cette consommation ne s’effectue que les jours de matchs avec le modèle français de stades non gérés intégralement par les clubs.

Et pour le sport amateur cela pourrait même être pire en mettant sous la lumière les pratiques actuelles et l’absence souvent de demande de débits de boissons… sans parler des types de boissons proposées. 

Heureusement les services de contrôle de l’Etat ayant été décimés par la RGPP et la future disparition du Ministère des Sports, on pourra continuer de faire, sans que cela n’augmente de manière faramineuse les moyens financiers des clubs.

Mais la loi Evin, qui suffit largement aujourd’hui pour allier convivialité, léger apport économique et  consommation raisonnable, devrait être en partie abrogée en décembre 2019 lors de la prochaine loi concernant le sport. Le nombre de rapports préconisant son « assouplissement » étant très important. Preuve que les lobbies sont particulièrement efficaces, car les nombreux élus devraient être en capacité de mesurer les non-effets économiques d'une telle mesure sur les clubs qu'ils déclarent vouloir soutenir.

Le Sport-Santé va pouvoir rentrer dans une nouvelle ère, celle du "en même temps".

En même temps on va mettre en oeuvre le "Sport sur ordonnance" et  on va favoriser la consommation d'alcool dans les enceintes sportives pendant que l'on va developper des campagnes de communication pour la pratique sportive et contre l'abus d'alcool.

Après les lobbies de l'alcool, ce sont ceux de la communication qui vont gagner sur les deux tableaux.



Reste la question d’un relatif faible engagement du monde économique (hors des distributeurs d’alcool) par rapport aux valeurs attribuées généralement au sport. 

Les entreprises n’ont de cesse d’utiliser les similitudes entre sport et management pour leurs outils de GHR en faisant intervenir dans des séances de team building de nombreux entraineurs et sportifs mais il est frappant de voir que ce sont surtout les PME locales qui participent au financement des clubs.  L'absence des grands groupes est aussi une spécificité française.

Nous sommes plus dans une logique de participation à l’animation des clubs locaux (presque du mécénat sans la défiscalisation) que dans le sponsoring véritable mais il fait vivre une partie du monde sportif aujourd'hui.





24 avril 2019

Et ça continue, encore et encore !

Ecofoot.fr Par   


« La France est l’un des seuls pays à interdire le parrainage des clubs par des alcooliers » Perrine Goulet, Députée  de la Nièvre Ecofoot.fr Par   



25 avril 2019

Tant que l'on prendra une pompe à bière pour la corne d'abondance, c'est que l'on attend des miracles au lieu de revoir le modèle.

Ecofoot.fr Par   
concernés et risquent de subir un assouplissement de la loi.

Publié le 28/05/2019

Une étude financée en partie par la MILDECA, menée par Laurent Bègue, professeur de l'Université de Grenoble et un chercheur australien, démontre que l'exposition aux marques d'alcool présentes dans les stades, entraîne de façon inconsciente une perception plus favorable de ces marques et de l'alcool en général.


14 juin 2019

Les industriels partent... alors que le lobby de l'alcool s'active.

Par Chloé Leprince France Culture

30 juillet 2019

Vous en prendrez bien encore un petit, pour la route, pendant cette canicule ?

Dans le projet de loi pour faire de la France "une nation sportive", 
Article 18: assouplissement de la loi Evin.

Mon père, enseignant d'EPS, faisait faire des assouplissements à ses élèves  en espérant qu'ils en tireraient des bénéfices pour leur vie d'adultes. 

Manifestement, la recherche de bénéfices n'est pas la même pour tous.


Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme Juillet 2019

Une proposition de loi avec aucune ambition sérieuse. Vive la communication.




7 août 2019

France Inter par Véronique Julia le 7 aout 2019




8 août 2019

 Des députés LREM proposent de rétablir la vente d’alcool dans les stades

Le Figaro Par  Coline Vazquez Mis à jour le 08/08/2019 à 07:14 Publié le 07/08/2019



Quelques éléments juridiques et rappels historiques de Yann Bisiou, Maître de conférences en droit privé et sciences criminelles, spécialiste du droit de la drogue - laboratoire CORHIS.

https://twitter.com/yannbisiou/status/1159394164666261504?s=20
11:21 AM · 8 août 2019

Le détail du thread twitter ci-dessous

"Alcool dans les stades : « l’affaire des Buvettes », un fil pour rappeler l’historique de tous les renoncements des autorités publiques face au lobby des pinardiers et des alcooliers. Dédicace spéciale aux @LaREM_AN qui s’inscrivent dans cette longue tradition de renoncement.




En 1991, dans une logique de santé publique, Claude Evin veut dissocier sport et alcool. La vente d’alcool est interdite dans TOUTES les enceintes sportives



Un décret de Bernard Kouchner de 1992 autorise 1 dérogation par an, pour la fête annuelle des clubs amateurs.


La loi est complétée, également en 1992, par l’interdiction de pénétrer dans une enceinte sportive en état d’ivresse et les peines aggravées par le gouvernement Balladur en 1993. C’est l’article L332-4 du code du sport. Le courage politique s’arrête là.




En 1996, le gouvernement de @alainjuppe cède au lobby des pinardiers et autorise par décret 10 ouvertures de buvettes par an. Cela revient, pour les clubs amateurs à autoriser la vente d’alcool lors de chaque match à domicile ou presque.




En 1998 le Conseil d’État censure le renoncement du gouvernement @alainjuppe en termes sévères.





Mais ce qu’une loi a fait, une loi peut le défaire. N’écoutant que leur lâcheté, les députés de l’époque votent en catastrophe un « cavalier » dans la loi de Finances pour autoriser les fameuses 10 ouvertures par an. La santé publique a perdu, les pinardiers ont gagné.

Et ce n’est pas fini ! Le 15 juin 2000 est publié le nouveau code de la santé publique et la limite de 10 autorisations disparaît ! À l’époque, avec Francis Caballero, nous bouclons le Précis @Dalloz de Droit de la drogue. Contactées, les autorités me répondent "erreur de plume".






C’est (presque) vrai! Par amendement à la loi de Finances (encore) de 2001, la limite de 10 autorisations est rétablie. Avec une nuance de taille : ce n’est plus le Préfet qui donne les autorisations, mais le maire, bien souvent acteur éminent du club sportif…



Un dernier mot aux @LaREM_AN: lisez ce court article qui raconte comment, avec de fausses données, Louis Lunier inventa l'aphorisme "Le vin chasse l'alcool". Inscrire son nom dans cette tradition de renoncement n'est vraiment pas glorieux.

archives-fig-st-die.cndp.fr/actes/actes_20…





Fin du thread de Yann Bisiou.



par Yann Bisiou

Université Paul Valéry Montpellier 3 - Équipe CORHIS
Revue Psychotropes – Vol. 22 no 2- 2016


On peut aussi envisager de financer le sport par de nombreuses activités illicites afin de continuer, dans certains cas à faire du blanchiment.


lire





11 août 2019



Libération Par Charles Delouche— 9 août 2019





12 août 2019




"la vente d'alcool dans les stades pourrait y renforcer la sécurité car de nombreux supporters boivent massivement en dehors du stade avant les matches sans que quiconque ne puisse réguler cette consommation".



franceinfoFrance Télévisions Mis à jour le 
publié le 



Rappel
Pénétration en état d’ivresse dans une enceinte sportive lors d’une manifestation sportive Art 42-4, 42-11 PP : 7500 €
http://www.justice.gouv.fr/art_pix/violencesenceintessportives.pdf

Cela signifierait qu'actuellement les accès aux stades ne sont pas sécurisés. 




Si cela était vrai et que des personnes alcoolisées arrivaient à rentrer dans les stades, cela voudrait dire que la loi n'est pas respectée par les clubs qui sont responsables de l'organisation des rencontres.


Alors argument fallacieux ou non respect de la loi ? 




14 août 2019
Journalisme et Santé publique Par Jean-Yves Nau publié le 13 août 2019


Paris Normandie par Thomas Dubois, publié le 13 août 2019 




21 août 2019



Par Le Parisien Le 21 août 2019 à 12h18








Un jour il faudra aussi arrêter de parler de loges VIP, argument fallacieux, pour présenter ce qu'elles sont réellement : des espaces commercialisés par les clubs auprès de leurs partenaires.
Mais présenter les hospitalités comme uniquement des espaces VIP, est un choix délibéré appuyé par les lobbies pour avancer un argument de mépris de classe. Ce est pas le sujet... on risquerait de voir qu'elle n'est pas appliquée.

Et si simplement nous faisions appliquer la loi Evin et ses 10 autorisations annuelles... Et si le contrôle des clubs amateurs avait lieu... 
Euh, non, là c’est pas le sujet .

Et ne parlons pas des spectateurs qui rentreraient ivres dans les stades (arguments de certains députés qui ne connaissent manifestement pas la loi), ce qui signifierait que les clubs ne font pas leur job d'interdire l'accès à des personnes en état d'ébriété.

Devant le nombre important d'appels à l'assouplissement de la loi Evin je propose que tous ceux qui y sont favorables s'inscrivent sur une liste officielle pour être Responsable Unique de sécurité des matchs ayant lieu à coté de chez eux; qu'ils assument les fonctions et les conséquences juridiques à la place des maires pendant une saison.



22 septembre 2019

Les lobbies sont de retour pour aider à la "redynamisation" des territoires ruraux, contre la disparitions des services publics: la Licence IV.



Libération Par Dominique Albertini — 20 septembre 2019

Ça commence à se voir un peu tout de même.


------------------------------------------------------------------------------------------------------ Bibliographie… (pour ceux qui cherchent des pistes pour booster l'économie des clubs sportifs.)



MOULARD (2018) Nouvelle ressource et évolution du business model une équation à plusieurs inconnues, Le cas des nouveaux stades du football français,  Thèse STAPS soutenue le 19 novembre 2018.


TRIBOU, G. (2016). Sponsoring sportif. Paris : Economica, (5e éd.).

TRIBOU, G., DERMIT N., WOJAK C. (2015). Management du sport. Marketing et gestion des clubs sportifs. Paris : Dunod

TRIBOU G. (2012), Ethique sportive et rationalité managériale. In Ethique du sport. Quelle philosophie ? (éd. B. Andrieu), Edition l'Age d'Homme, 428-440.

TRIBOU, G. (2011). Sponsorship: Associating Image Attributes with Specific Sports and Particular Teams. International Journal of Sports Marketing & Sponsorship, 12, 2, 138-152.

PIERRE J., PICHOT L. & BURLOT F. (2010), « Le sport en entreprise au service des pratiques managériales », Communication, revue québécoise des recherches et des pratiques en communication, Vol. 28, No. 1, p. 133-160.

PICHOT L. (2007), « Les politiques de communication par le sport au service de la dynamique organisationnelle des entreprises», Communication & Organisation, 31, p. 231–247. Article version pdf


Compléments dans

Blog Aménagement, Tourisme, Sport & Tourisme, créé le 8 février 2017

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