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jeudi 13 novembre 2025

Juste quelques éléments de réflexions

 Sélection de thématiques spécifiques traitées ces derniers mois; rédigées sous forme de chroniques régulièrement complétées afin d'éviter les renvois à des publications antérieures.


MAJ le 3 octobre 2025









Tourisme et visions archaïques

Les docteurs Knock et Coué : les pères fondateurs du marketing en stations de montagne.

publié le 19 décembre 2021
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme


Depuis 50 ans le diagnostic est connu !
Et très bien réalisé par Danielle ARNAUD à travers un gros travail d'enquête.




Pourtant…



Lorsque le diagnostic est biaisé, 

la réponse est dévoyée.

19 juin 2024
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme


8 Juillet 2020
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme 



la réponse est inadaptée !

6 Octobre 2017 
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme 







Tourisme et prospectives

Le Monde publié le 1er octobre 2022 
par 

Philippe Naccache, professeur associé en stratégie et développement durable à l’Inseec ; 
Julien Pillot, enseignant chercheur en économie à l’Inseec et chercheur associé CNRS;
Eric Adamkiewicz, maître de conférences en développement territorial à l’université Toulouse-III



publié le 7 août 2022
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme


Les docteurs Knock et Coué : 
les pères fondateurs du marketing en stations de montagne.

publié le 19 décembre 2021

BLOG AMÉNAGEMENT, RÉCRÉATION, SPORT ET TOURISME



ASCENSEURS VALLÉENS :
VOIX DE LA RAISON, VOIES DE GARAGE, OU VOIX IMPÉNÉTRABLES ?

publié le 4 juillet 2021
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme





publié le 29 novembre 2020
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme 



publié le 29 septembre 2020
texte intégral de celui publié dans le n°280 septembre/octobre de Montagne Leaders 
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme 




Le Monde publié le 26 juin 2020 
par 

Malgorzata Ogonowska, maîtresse de conférences en économie du tourisme à l’université Paris-VIII;
Philippe Naccache, professeur associé en stratégie et développement durable à l’Inseec ; 
Julien Pillot, enseignant chercheur en économie à l’Inseec et chercheur associé CNRS;
Eric Adamkiewicz, maître de conférences en développement territorial à l’université Toulouse-III



(le marché intérieur n'existe pas pour une "pseudo-élite" qui déraisonne…)
publié le 8 mai 2020
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme 



 publié le 17 février 2020
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme 


 publié le 4 janvier 2020
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme 

  
publié le 23 ème jour du temps du dedans, soit le 8 avril 2020. 12h40
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme 





Le Génie français : ou comment la pseudo "première destination touristique mondiale"ne risque pas le "surtourisme".
(ex- Quelques remarques sur un rapport parlementaire sur le tourisme de Juillet 2019)
publié le Août 2019 
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme  






Sports, équipements…et lieux communs !


Au-delà du design actif : construisons un urbanisme actif et sportif !

Eric Charlie Adamkiewicz, Sandrine Bélier, Gilles Champel, Martin Citarella, Sonia Piettre

16 mai 2025


Auto-organisation et gestion des espaces ruraux et naturels

Sports et auto-organisations
ouvrage collectif coordonné 
par Thomas Riffaud et Bruno Lapeyronnie , Territorial éditions, PUS, Mars 2023 pp 61-68



Revue Espaces n° 357 Novembre- Décembre 2020




« Paris 2024 m’a tué !»

Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme  publié le 27 octobre 2020 



Un modèle original de gestion partagée d’un stade
publié le 19 juin 2020
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme





Gouvernance du Sport et Management Territorial: 
une nécessaire co-construction 

ouvrage collectif coordonné 
par Bruno Lapeyronnie et Dominique Charrier, Les éditions de Bionnay, Février 2020 pp 77-93




 publié le 30 Juillet 2019
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme






Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme
Chronique alimentée depuis septembre 2016









Quel Master Management du Sport pour quel projet professionnel ?

Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme publié en avril 2019



Les anciens de la filière Management du sport de Toulouse
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme publié en avril 2020




Loi EVIN et lobbying

Sport -Santé: c'est ma tournée, je remets la mienne ! Lobbying contre la Loi Evin et financement "disruptif" du sport français.
publié le 8 Décembre 2018 
Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme 






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Points de vues



Blog Aménagement, Récréation, Sport et Tourisme  publié le 14 Août 2019 




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Just a joke

Alpes 2030 : il faut reporter les Jeux en 2034 !

Entre déni démocratique, coûts pharaoniques et bricolages permanents il est temps d’être raisonnables.

 

 

Il est particulièrement intéressant de découvrir à la lecture de l’avis du député Frédéric Maillot lors de la préparation du projet de Loi de finances 2026 dans le cadre de la Commission des Affaires Culturelles et de l’Education de l’Assemblée nationale, que le cabinet de la Ministre des Sports Marie Barsacq a refusé de communiquer aux parlementaires les conclusions d’une « mission d’appui à la consolidation budgétaire des JOP 2030 » demandée par Michel Barnier en décembre 2024 (page 37)[1].

 

Alors qu’en septembre 2025, les députés devaient être amenés à voter sur la loi olympique permettant de préparer les JOP de 2030, on leur a refusé la communication d’éléments budgétaires permettant de comprendre les enjeux financiers liés à l’organisation de ces jeux Olympiques et Paralympiques et ainsi avoir la connaissance des conséquences de leurs votes…

 

Quelles justifications pouvaient être invoquées pour refuser aux élus d’avoir accès à un document produit par l’Inspection Générale des Finances et par l’Inspection Générale de l’Education, du Sport et de la Recherche ? 

Alors même que les députés devaient, dans le cadre du Projet de Loi de Finances, engager des fonds pour permettre la planification de l’organisation de ces JOP entre 2026 et 2030.

 

A part un « Secret Défense de regarder de trop près»… on ne comprend pas vraiment.

 

Mais il est vrai que le cabinet de la ministre a dû être étonné puisqu’en juin les sénateurs ont voté majoritairement cette loi olympique, avec quelques modifications, sans avoir les éléments budgétaires à dispositions… Même si :

 

« Le flou économique de ces JOP 2030 préoccupe donc dans l’hémicycle. Le Sénat a supprimé l’article 5 du projet de loi, qui prévoyait que les régions hôtes apportent une garantie financière en cas de solde déficitaire du Comité d’organisation des JOP. La chambre Haute a jugé l’article « prématuré » en raison de « prévisions de déficit inabouties ». Selon Jean-Michel Arnaud, sénateur Union centriste, « les Jeux olympiques d’hiver ont plus de risques d’être déficitaires que les Jeux olympiques d’été ». »[2]

 

On ne peut que s’étonner que les membres de la Chambre Haute aient d’ailleurs validé une loi sans que les différents documents budgétaires existants n’aient pu être consultés:

è 4 rapports de l’Inspection Générale des Finances et de l’Inspection Générale de l’Éducation, des Sports et de la Recherche évoqués par La Lettre (3 rapports entre juillet 2023 et décembre 2024, avant la demande supplémentaire de Michel Barnier ) 

è Un étude d’impact réalisée par le Cabinet UTOPIES à la demande du CNOSF (Juin 2024).

 

Il est par ailleurs assez surprenant, qu’à la suite de la décision de Michel Barnier, Premier Ministre, de donner la garantie de l’État le 02 octobre 2024[3] pour organiser ces JOP en 2030, celui qui avait porté Albertville 92 en ayant annoncé : « Les Jeux payeront les Jeux », puisse demander une « mission d’appui à la consolidation budgétaire des JOP 2030 » en décembre !!!

Je valide puis je demande des précisions…

 

Reste qu’il est assez curieux qu’un Premier Ministre, membre du CIO, valide une garantie pour le compte de l’Etat… dont va profiter une association helvétique dont il est membre … !!!

 

 

Mais concernant les aspects budgétaires avec des « prévisions de déficit inabouties ». il est également vrai qu’en juin 2025, son successeur à Matignon, François Bayrou annonçait fièrement à Briançon: 

 

« Je signe le chèque mais je ne mets pas encore le montant »[4]

Le Dauphiné Libéré 27 juin 2O25

 

Pourquoi s’en faire… puisqu’on pouvait trouver des économies en supprimant par exemple le « Pass Sport » pour les 6-13 ans dans la partie Sport du PLF 2026.

 

 

Déjà, lors de la candidature surprise en 2023, les aspects budgétaires étaient surprenants :

 

« Le budget est estimé, pour l'instant, à 1,5 milliard d'euros. S'il ne veut pas s'engager sur d'éventuels dépassements – « c'est trop tôt » –, Wauquiez assure que « l'objectif sera d'être au plus proche de l'équilibre, car il y aura des recettes en face » ».[5]

Le Point 20 décembre 2023

 

 

Étonnamment La Lettre fait état dès 2024 (dans un document non rendu public…) d’un déficit supporté par les finances publiques entre 800 et 900 millions d’euros…[6]

 

Puis les dérapages évoqués dans les rapports de l’IGF, se concrétisent avec les réajustements budgétaires de septembre 2025 :

 

JO 2030 : un budget réévalué à 2,1 milliards d’euros, légèrement supérieur au plafond imposé par l’Etat[7]

Le Monde 20 octobre 2025

 

Sans compter le budget de la Solidéo qui passe d’1 milliard à 1,3 milliard et que l’on oublie régulièrement d’évoquer. Et pour cause, le coût des Jeux est déjà estimé à 3,4 milliards…

 

Mais tout n’est pas encore terminé puisque le calendrier serré imposé par le CIO à des élus trop pressés[8]fait dérailler certaines parties des projets d’infrastructures. Il est ainsi non surprenant de lire :

 

« D’un point de vue financier, les motifs d’inquiétude sont nombreux et

 tiennent, d’une part, au caractère discutable de certains choix et, d’autre part, aux incertitudes sur le coût des JOP pour la puissance publique.

 

a.     Le caractère discutable de certains choix

 

Plusieurs choix opérés en vue de l’organisation des JOP 2030 posent problème et sont susceptibles d’induire d’importants surcoûts.

 

La première interrogation porte sur l’organisation de ces Jeux dès 2030.

 

Initialement, la région Paca soutenait une candidature pour les JOP de 2034 ou de

2038 avant de se rallier à une candidature dès 2030 présentée conjointement avec

la région Aura. L’organisation de ces épreuves dès 2030 laisse cependant peu de temps

pour s’y préparer. Les délais d’exécution des travaux seront très contraints ce qui

pèsera sur leur coût. Vite fait, bien fait, pas cher, cela n’existe pas.»

 

« La seconde interrogation concerne le choix de certains sites qui a manifestement davantage obéi à des préoccupations politiques qu’à un souci de bonne gestion des deniers publics. L’organisation des épreuves de sport de glace à Nice soulève ainsi de nombreuses objections (1). Deux équipements cristallisent les critiques : la construction d’une patinoire olympique pérenne et

l’aménagement temporaire d’une double enceinte de hockey sur glace au sein du stade de football de l’Allianz Riviera à Nice. Le coût prévisionnel de ces deux équipements est supérieur à 215 millions d’euros TTC (217,2 millions d’euros) et se décompose ainsi :

– 138 millions d’euros TTC pour la conception-réalisation de la patinoire (2) ;

– 79,2 millions d’euros TTC pour la transformation temporaire de l’Allianz Riviera en une double enceinte provisoire de hockey sur glace (3).

Le choix de ces deux sites ne peut que susciter l’étonnement.

 

La nouvelle patinoire olympique pérenne remplacerait l’actuelle patinoire de Nice, aujourd’hui vétuste (4), alors même que deux autres patinoires olympiques existantes auraient pu être utilisées : celle du palais omnisports de Marseille Grand-Est (inaugurée en 2009) et celle de Pralognan-la-Vanoise (qui a accueilli les Jeux en 1992). Dans les deux cas, et en dépit du coût de l’hébergement des athlètes sur un nouveau site, il aurait été moins onéreux d’adapter ces équipements que de financer la construction d’une patinoire olympique neuve à Nice. À ce titre, il est plus que regrettable que la Solideo n’ait pas été invitée à étudier ces solutions alternatives.

 

Le choix d’organiser les épreuves de hockey sur glace au sein du stade de football de l’Allianz Riviera de Nice suscite des réserves encore plus importantes au vu de l’ampleur des travaux à exécuter (il faudra par exemple couvrir le stade d’un toit provisoire), de la nécessité d’indemniser le concessionnaire du stade (qui sera privé de l’exploitation du site pendant quatre mois) et de l’obligation de faire jouer le club résident (l’OGC Nice) hors de son enceinte habituelle pendant plus d’un trimestre. On ignore par ailleurs si le coût projeté inclut le remplacement probable de la pelouse du stade à l’issue des Jeux.

Le choix effectué étonne d’autant plus au vu des alternatives existantes. La LDLC Arena, située près de Lyon, et l’Accor Arena de Paris accueilleront ainsi en 2028 les championnats du monde masculins de hockey sur glace. Dans ce contexte, pourquoi transformer, pour un montant élevé, un stade de football dénué de toit en une double enceinte provisoire de hockey sur glace alors que deux palais omnisports couverts existent et ont été sélectionnés pour accueillir une épreuve internationale de hockey-sur-glace deux ans avant les JOP ? Là encore, il est plus que regrettable que la Solideo n’ait pas été invitée à étudier des solutions alternatives alors même que le récent rapport précité de l’IGÉSR et de l’IGF a confirmé leur intérêt. »[9]

 

Le projet de patinoires de Nice est révélateur des dérives de l’urgence de traitement de ce dossier.

Annoncé pour 20 millions d’euros[10] et ne devant « rien couter aux niçois », nous voilà, pour le moment à une estimation de 130 millions pour la nouvelle patinoire… Bien au-delà de l’estimation de 53 millions du CIO dans son rapport de la commission futur hôte de 2024… 








ALPES FRANÇAISES 2030 : RAPPORT DE LA COMMISSION DE FUTUR HÔTE POUR LES JEUX OLYMPIQUES D'HIVER À L'INTENTION DE LA COMMISSION EXÉCUTIVE DU CIO, 12 JUIN 2024 / COMITÉ INTERNATIONAL OLYMPIQUE

 


Et la presse commence à se faire l’écho de cette situation anachronique en pleine discussion budgétaire 2026

 

« Plus de 200 M€ cela n'a aucun sens, c'est une folie budgétaire » : le choix de Nice pour les JO 2030 vivement pointé du doigt

L’Equipe par Rachel Pretti publié le 4 novembre 2025

 

"C'est idiot" : à Nice, le coût faramineux de la patinoire olympique divise

TF1 Info par Thibault JEANNIN publié le 10 novembre 2025

Futur pôle glace pour les Alpes 2030 : « Un caprice de riche qu’on ne peut pas se permettre 

Le Dauphiné Libéré par Robin Charbonnier publié le 11 novembre 2025

 

«Caprice de riche» : à Nice, les 200 millions d’euros pour les patinoires en vue des JO d’hiver 2030 interrogent

Le Figaro Nice par Lucas Hélin publié le 13 novembre 2025

 

 

Tous ces différents éléments, mais également les choix immobiliers hasardeux et dispendieux aux coûts non encore complètement estimés autour du site de Briançon avec la transformation du « Fort des Têtes », site classé au Patrimoine de l’UNESCO, mais aussi dans les Aravis ou des projets « ascenseurs » non finalisés en Tarentaise aux conséquences budgétaires post JOP très aléatoires, font de ce projet de Jeux Olympiques un dossier à rebondissements … qui pourrait nous rappeler le bilan des Jeux d'Albertville 1992, avec ses augmentations d'impôts locaux post JO durant 18 ans.

 


Et puis il y a la saisine du Comité Aarhus… une première historique. 

Avec une étape importante le 18 novembre 2025.

 

JO d’hiver 2030 : un organe de contrôle onusien va étudier d’éventuels manquements à la « démocratie environnementale »

Le Monde par Maryline Baumard publié le 22 octobre 2025

 

 

Pour ces « quelques » raisons, mais également pour les atermoiements concernant la désignation des sites paralympiques, la non prise en compte des coûts liés à la mobilisation des services de l’État dans la phase de préparation comme au moment des Jeux et bien d'autres…, la raison voudrait que les organisateurs mais également l’État demande au CIO de reporter ces Jeux Olympiques à 2034 ou 2038.  Comme cela était envisagé dans la candidature initiale.

 

Le CIO devrait pouvoir comprendre (d’autant que c’est un nouvel exécutif qui n’est pas responsable des décisions antérieures) que la difficulté dans laquelle il a laissé se placer la candidature française ne sera pas bonne pour son image alors même que les JOP de Milan-Cortina risquent de proposer un bilan assez délicat à assumer.

 

Dans un contexte budgétaire que tous les français subissent tous les jours, avec des effets d’annonces d’économies difficiles à faire accepter, proposer une augmentation des coûts de Jeux Olympiques et Paralympiques qui foncent vers un déficit abyssal est irresponsable. 

En se donnant au moins 4 ans de travaux et de réflexions supplémentaires on sortirait par le haut pour préparer efficacement la transition des territoires de montagne avec un projet réellement plus sobre et plus respectueux tel qu’annoncé en 2023 mais irréaliste aux vues des contraintes actuelles.

 

Pour bien réussir des Jeux, une bonne préparation mentale ne suffit pas, il faut aussi de bonnes conditions générales de préparations. Plutôt que se jeter dans les épreuves et finir en vrac, autant prendre le temps de se préparer correctement.

C’est pour cela que les athlètes programment leurs préparations en fonction des épreuves en lien avec leur état de performance.

 

Salt Lake City peut aisément accueillir les JOP 2034.

 

Au CIO d’être en phase avec son temps en s’adaptant à la situation, et aux français de reconnaitre qu’à trop vouloir bénéficier de l’aubaine olympique, les risques encourus sont trop grands s’ils veulent faire des jeux qui marqueront l’histoire olympique comme l’ont été ceux de Paris.

 

Repousser les Jeux à 2034 est aujourd’hui une nécessité. Et cela ne nous coûtera rien. Mais cela donnera de la sérénité et de l'efficacité.

Cela demande d’avoir la lucidité de montrer que l’intérêt général est porté par des choix réalistes et raisonnables. 

Lorsqu’on demande des efforts aux français en cherchant des économies partout, dans le système de santé, dans l’éducation, …, comment justifier le maintien à tout prix d’un évènement que l’on peut encore décaler ?

Ce n’est pas une question de fierté mal placée, mais un principe de réalité… et de courage.

 

Publié le 13 novembre 2025


Liens de documents annexes

"C'est pas pire…" publié le 03 octobre 2025



[3] JO d'hiver 2030 : Michel Barnier a bien signé la garantie financière de l’Etat

https://c.ledauphine.com/skichrono/2024/10/02/jo-2030-michel-barnier-a-signe-la-garantie-financiere-de-l-etat

 

[4] Bayrou sur les JO 2030 : « Je signe le chèque mais je ne mets pas encore le montant » Le Dauphiné Libéré 27 juin 2O25

https://c.ledauphine.com/jeux-olympiques/2025/06/27/jo-2030-de-l-argent-et-des-engagements

[6] JO d’hiver 2030 : un gouffre financier en pleine austérité

https://reporterre.net/JO-d-hiver-2030-un-gouffre-financier-en-pleine-austerite

[7] JO 2030 : un budget réévalué à 2,1 milliards d’euros, légèrement supérieur au plafond imposé par l’Etat

https://www.lemonde.fr/sport/article/2025/10/20/jo-2030-un-budget-reevalue-a-2-1-milliards-d-euros-legerement-superieur-au-plafond-impose-par-l-etat_6648206_3242.html

[8] JOP HIVER 2030, 2034, 2038 : La pire décision possible pour la France et pour le CIO c’était 2030 !

https://ericadamkiewicz.blogspot.com/2024/01/jop-hiver-2030-2034-2038-la-pire.html

[9] AVIS PRÉSENTÉ AU NOM DE LA COMMISSION DES AFFAIRES CULTURELLES ET DE L’ÉDUCATION SUR LE PROJET DE LOI de finances pour 2026, TOME IX, SPORT, JEUNESSE ET VIE ASSOCIATIVE SPORT, PAR M. FRÉDÉRIC MAILLOT, Député.

https://drive.google.com/file/d/1AK6ltRp1_w7CEu7_YvRiyVxkCPiAV3xZ/view?usp=sharing

[10] JO d’hiver de 2030 : Christian Estrosi envisage une nouvelle patinoire à Nice

https://www.lefigaro.fr/nice/jo-d-hiver-de-2030-christian-estrosi-envisage-une-nouvelle-patinoire-a-nice-20231109